A près deux années marquées par un contexte difficile et morose, cette dernière mouture a retrouvé son dynamisme habituel auprès des organisateurs et du public. Durant ces deux jours les chants polyphoniques à l’église ont connu un franc succès auprès des nombreux auditeurs,
témoigné par des applaudissements nourris, tout comme les nombreuses “cantèras” qui naissaient de part et d’autre à l’heure du repas. Par ailleurs, au centre socioculturel, les amateur de danses traditionnelle, venus en masse, se sont adonnés sans retenue à leur passion emportés par la qualité, la diversité et la vivacité des groupes de musiciens. Au delà de tout ceci, l’idée de cette rencontre était sous-tendue par le désir de faire découvrir et partager notre culture bigourdane, gasconne ou plus largement occitane et de la propager. De la partager en chantant ou en dansant, chacun aura pu constater qu’elle représente de nombreuses richesses qui valent la peine d’être connues, d’être dansées, d’être chantées.


